Aux antipodes du dernier film spatial de Riddley Scott (Prometheus), Seul sur Mars nous régale de la proximité qu'il revendique de la science.

On le voit à longueur d'images, la production a bossé de concert avec la Nasa pour offrir un contenu crédible. Si les approximations restent légion, on se régale de voir le botaniste évaluer ses conditions de survie, condamné à résoudre des équations insolvables avec pour seul instrument ses connaissances (« Je vais devoir en chier de la science », dit le héros).
Loin des astronautes manchots de Mission to Mars, le personnage de Matt Damon expérimente, échoue et essaye à nouveau avec des paramètres différents pour arriver à ses fins.

Ce sont ses essais et ses erreurs qui contribuent à le sauver...

Par Gregory Raymond



Le 21 octobre au cinéma